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Others Than You

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2 juillet 2009

UNE ODEUR DESAGREABLE DANS MON COEUR UN SIMPLE

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UNE ODEUR DESAGREABLE DANS MON COEUR

UN SIMPLE MOT ET TOUT S'ARRÊTE ...

_____Un autre jour qui passe. On fait mine de sourire mais au fond de nous même on est heureux sans vraiment l'être car il manque toujours quelque chose au fond de nous, un petit bout de cœur, une chaleur, une présence ... Mais maintenant puisqu'il me le demande je vois la vie en rose. Il y à toujours un point noir au milieu du tableau verdoyant. Je fais mine de ne pas le voir. Je souris sans vraiment le vouloir mais sa je ne lui dis pas. Il vaut mieux que je cache cette petite tache noire au milieu de mon tableau au lieu de lui dire et de l'inquiète pour rien. Je préserve en même temps se que j'aime, n'est ce pas normale ?! Moi je trouve que oui. Je ne me sens pas seule au contraire, je suis entouré de ma famille, sa me réchauffe un peu l'intérieur mais je cache quand même le carton pas solide où je cache mon cœur. Il c'est déchiré un peu sur le coin, on voit la fumée corporelle qui se dégage du trou et une odeur désagréable se fait sentir. Je ne peu point leur caché sa plus longtemps mais je ne peu pas non plus le récupéré pour le moment. Comment faire ? Je ne sais point et je ne veux point savoir. Je souris sans le vouloir.

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PETITES LUMIERES ET EAUX GLACIALES souvenirs de la fête de la musique ... Vidéo (lien)

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30 juin 2009

Une simple épine dans le coeur Je ne suis que

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Une simple épine dans le coeur

Je ne suis que moi, Marianne, Lipoutou ...

_____Je ne suis qu'un cœur malade loin de son oxygène. Les veines qui s'assèchent au fur et a mesure que le temps passe. Bientôt la folie de la solitude me monte à la tête. L'oxygène me manque de plus en plus. Je ne vais pas passé la nuit loin de sa chaleur. Je suis en manque. A chaque mot qui résonne dans le micro, mes artères se gonflent de sang, il en arrive trop en même temps, sa éclate, je pleure du sang. Du sang noir de peur. Des douleurs insensés résonnent dans mon corps. A chaque battement une brûlure intense me parcours, la solitude se joue de moi à coup de pique dans se petit organe. Sa lame me transperce. My heart pricked by the fear. Je vois cette plaie ouverte et saignante sur ma poitrine. Je me suis arraché le cœur pour arrête de souffrir jusqu'à nos retrouvailles. En attendant je l'ai enfermé dans une boite en carton loin de mon regard perdu. Une flaque de sang commence a imbibé le carton pas assez solide. Mais je le laisse enfermé, je ne veux pas le touché. Pas encore, se n'est pas l'heure. En attendant je cache ma plaie avec quelque bandes imbibé de son parfum. Sa brûle dans je les pose, sûrement l'alcool, mais au finale je retrouve un peu de sa chaleur a moins que se sois la folie qui c'est installée jusque dans la chaire à l'aire libre. Je ne peux envisagé quoi que se soit sans qu'il ne soit là. Je ne préfère même pas imaginé à quoi ressemblera cette plaie si un jour tout s'arrête, si un jour l'oxygène manque et que la folie remplace mon cœur perdu dans un carton imbibé de sang, qui n'a plus jamais été réouvert. Non je n'y pense pas au contraire je me concentre sur le présent, et peut être à un avenir à deux. Peut-être. Si dieu existe je me demande bien se qu'il me réserverait, une vie seule sans cœur ou une vie longue près de lui. Je laisse le choix a qu'il le voudra. Moi dans ma tête c'est déjà fait, j'arrive même a faire grincé mon cerveau a force a de le contracté pour le faire imaginé un futur presque parfait. La folie me monte à la tête elle ne veut pas s'arrête, au fur et a mesure que les mots s'aligne elle grandit comme un bébé que l'on nourrit. Elle est toute rose et toute gentille, elle ne prend pas de place au début mais quand les colères arrivent, on l'entend gémir dans la maison. Elle se plain, elle réclame l'attention qu'elle croit mérité. Tout le mon accours, ils la nourrice, la dorlote, l'encourage pour ses premier pas dans se corps qui n'est pas le sien mais qu'elle possède de plus en plus. Je sens que tout se temps loin de lui va être pire qu'une chambre blanche sans fenêtre, je vais me perdre dans mes écris. Comme un peintre fou dans ses toiles. Je ne vais pas me sentir bien dans toutes mes première lignes, ça va sûrement se sentir, se voir, s'entendre. Mais là c'est catastrophique, je me revoit encore quatre mois en arrière, perdu, le cœur en mille morceaux a écrire des textes plus que sombre. Moi qui ne voulais pas revenir dans cette phase là, j'y suis retourné plus vite que je ne le pensais, beaucoup plus vite. J'arrivais a écrire des textes heureux, des textes de joies et plus aucun sombre textes sombres n'apparaissaient sur les pages que je tapissais mais là ils reviennent à grands galops comme des étalons sauvages enragés par la destruction de leurs vies. Je ne veux pas être piétiné, non je ne veux plus revivre la honte envers moi même que j'ai vécus pendant plus de trois moi avant le 17 mars date où je suis tombé dans ses bras. Je ne sais toujours pas depuis six jours pourquoi mon cœur ne s'habitue pas au faite qu'il est loin de moi mais pourtant toujours aussi présent puis qu'il arrive a me rongé le cœur de son amour trop loin de moi.   

Dead Poetic « Paralytic »   Sans_titre_4

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